Cour
Gildoin IV de Chambois Diplomatie : 70 ; Martial : 45.
Bonus : aucun. -
Poste : aucun.
Gildoin IV est l'actuel comte de Chambois, fils d'Etienne II et de Eléonor de Croix-Sauveur.
Resté neutre pendant la Guerre Civile, Gildoin deviendra par la suite un grand héros des guerres coloniales dont il dirigea une partie des troupes du Roi en tant que Connétable. Là bas, il put montrer à tous son courage, sa foi et sa grande habilité stratégique. Malgré cela, on le tiendra en parti responsable de l'échec devant Caer Lugut, ce qui entachera son prestige militaire, obligeant le Roi Lothaire IV à le destituer de son poste de Connétable.
Gildoin est un homme bon, chaste et pieux, mais intransigeant. Il ne supporte pas la vulgarité et les mauvaises manières. Certains disent qu'il est hypocrite et fourbe, et qu'il faut s'en méfier.
Gaucher de Chambois Erudition : 30 ; Martial : 20.
Bonus : aucun. -
Poste : aucun.
Gaucher est le fils de Gildoin IV et d'Antoinette de Douves. Sa mère est morte en le mettant au monde.
Gaucher est un jeune garçon discret, naïf et peu sur de lui, que beaucoup méprise car il passe pour être bête.
Son prénom semble avoir été prémonitoire : il est particulièrement gauche, maladroit avec les armes comme avec les plumes. Mais le jeune homme possède un monde intérieur riche qu'il n'ouvre qu'aux personnes de confiance, il a une âme d'artiste, de poète.
Il admire beaucoup son oncle Bertrand.
Lothaire de Thury Martial : 65 ; Intendance : 40.
Bonus : aucun. -
Poste : Maréchal.
Lothaire est un vétéran de la Guerre Civile, recruté par le comte de Chambois après la guerre sur sa seule renommée. Il est très redouté, par ses ennemis et par ses hommes. Il se fait respecter par un mélange d'amour et de haine : il sait être généreux avec ses soldats, mais aussi implacable et sévère.
Lothaire est une masse en armure de métal, mesurant deux mètres, la tête chauve et le visage osseux, la cicatrice qui lui traverse l'oeil droit rajoutant à son charisme
Frère la Malice Érudition : 50 ; Martial : 40.
Bonus : aucun. -
Poste : Chancelier.
Frère Vermond, surnommé la "Malice", est un clerc atypique. Bien qu'il porte la soutane et la tonsure, il n'est pas sûr qu'il fasse vraiment parti du Clergé. Il passe sous temps à réciter des psaumes et à parler une langue liturgique incompréhensible pour cacher son ignorance.
Chapelain de la cour, il bénit les courtisans et leur donne les sacrements ; mais il est bien plus porté sur la boisson que la prière. Armé de son gourdin, il n'hésite pas à prendre part aux combats.
Le Petit Intendance : 65 ; Martial : 40.
Bonus : aucun. -
Poste : Surintendant.
Le Petit doit son surnom à sa taille ne dépassant pas les 1m65.
S'il n'est pas grand, le Petit rayonne par son intelligence. C'est une tête et un proche conseiller du comte, celui qui a toujours les bonnes idées et les solutions aux problèmes.
Le Petit est un habile intriguant, rusé et fourbe, qui n'a pour seul objectif que l'argent. Contrairement à d'autres, il ne boit jamais d'alcool afin de protéger son arme la plus précieuse, son cerveau.
Croquant Martial : 60 ; Intrigue : 30.
Bonus : aucun. -
Poste : Bailli.
Croquant est un vétéran de la Guerre Civile, ancien compagnon d'armer de Lothaire de Thury. Il a servit dans l'armée royale et participé a bon nombre de batailles où il a acquit ses belles cicatrices. Démobilisé une fois la paix revenue, il a été l'un des premiers à se faire routiers, n'ayant aucune autre compétence que le port des armes. Mais Lothaire le recruta pour servir le comte de Chambois.
Croquant est une masse de muscle aimant écraser des crânes avec son marteau de guerre. Sous ses aspects rustres, il cache une grande maîtrise de la stratégie, chose qu'il a apprise en côtoyant les commandants royaux lors de la guerre.
Le Grand Martial : 60 ; Intendance : 30.
Bonus : aucun. -
Poste : Bailli.
Frère du Petit, le Grand en est tout l'opposé : il est grand et niais. Pour autant, c'est un bon soldat et un meneur d'hommes compétents. Mais il ne pourra jamais faire preuve d'initiative ou élaborer le moindre plan, le Grand a besoin d'un chef au dessus de lui pour lui donner des ordres, sinon il est totalement perdu.
Le Grand est aimé des hommes pour sa gentillesse un peu naïve, pour son humour et son courage.